5 réflexions au sujet de « Vendredi 14 janvier 2011, la chute de la dictature tunisienne; vive la liberté, vive la Révolution »

  1. Ils sont entrain de vous jouer la comédie,ne lâchez pas l’affaire. il faut continuer la lutte pour finir avec tout le régime et non seulement Benali . Il est parti mais il n’a pas démissionné, légalement il est toujours président et peut revenir puisque ses sbires et assassins sont toujours au pouvoirs. Courage peuple tunisien, le destin dit oui pour votre vie et vous tend le tapis de la liberté alors saisissez l’occasion et ne vou laisser pas confisquer votre révolution.

  2. a bas la tyrannie.
    c est un vrai mois de bravoure et de noblesse que la tunisie vient de vivre .d une emolation dont med bouazizi a ete le hero(lah irahemou)jusqu a la fuite de ben ali,et a la fin de la comedie med ghanouchi president.le peuple tunisien avec sa jeunesse cultivee dira son mot et organiserait sa democratie grace a l UGTT,et au parti de la gauche propre.pour moi j ai vecu des jours inoubliable et j aurais aime etre avec vous.et surtout j espere que cela se propagerais comme une tache de huile sur tous les pays du nord afrique et du moyen orient.qu il est le prochain pays?egypte ou jordanie ou…

  3. Bravo a vous peuple Tunisien mes pensées vont a ce jeune homme qui s’est immolé continuez a virer toute cette clique car les  » que j ai vue a la télé ne m’inspire pas confiance prenez votre destin en main
    Un francais qui a du mal a digérer l’attitude de son gouvernement
    Encore une fois bravo

  4. de l'importance de la révolution de tunisie révolution devient stérile si elle n’a jamais la victoire dit :

    La révolution de Tunisie est importante car comme l’écrit Bernard Noël (dans :
    Propositions pour l’AEAR) :
    La révolution devient stérile si elle n’a jamais la victoire, écrit Pasolini dans « Vittoria », le
    dernier poème de Poésie en forme de rose (1964). Ce constat n’était alors qu’un avertissement
    ; il peut à présent servir de base à une formule qui en révulse le sens en stipulant : le meilleur
    moyen de stériliser la Révolution est de rendre sa victoire impossible. Ensuite, il ne faut pas
    beaucoup de temps pour que « impossible » se change en « impensable » et que ce dernier
    qualificatif efface aussi bien la «victoire» que «la révolution ».
    Nous en sommes là. Et mieux vaut balayer les illusions qui nous feraient tempérer cette
    situation. L’ennemi a joué son rôle en faisant peu à peu disparaître de notre avenir ce qui en
    était le Nord, dans la dynamique, justement, du Front populaire. L’image symbolique de ce
    qui fut la victoire de Front est celle des premiers congés payés. Pour la première fois les
    travailleurs pouvaient prendre des vacances, et c’était désormais leur droit.
    L’habileté perverse de la classe dominante a consisté, lentement, à métamorphoser le droit
    aux loisirs en droit à la consommation. Les vacances sont maintenant une marchandise et le
    tourisme une industrie. Le comble, dans cette logique, fut de rendre désirable ce qui passait
    autrefois pour l’aliénation en développant le manque de travail, donc, le chômage et la
    précarité. Les acquis sociaux que l’on croyait irréversibles dans un élan venu des luttes du
    XIXe siècle, fortifiées par le Front populaire et les mesures sociales de la Libération, sont
    ainsi devenues fragiles puis en perdition. Qu’est-ce qui a rompu leur progrès ? Cela même qui
    aurait dû le confirmer avec l’arrivée de la gauche au pouvoir.
    Pourquoi la victoire s’est-elle transformée en échec ? Ce n’est pas le lieu d’interroger l’échec
    du communisme, en dépit de ses conséquences ; par contre, l’échec du socialisme nous
    concerne toujours parce qu’il demeure latent et comme prêt à continuer.
    L’échec du socialisme français est double : il est politique et il est moral.
    Côté politique, il est lié à l’acceptation de l’hégémonie de l’économie, choix qui a motivé des
    options socialement aussi désastreuses que la rentabilité aux dépends de la solidarité. Côté
    moral, les dégâts dépassent toute mesure parce que qu’ils ont produit une accoutumance à la
    dévalorisation des acquis sociaux et du service public. S’accomoder d’une perte en vertu d’un
    réalisme décrêté indispensable prépare seulement à supporter une perte plus grave : c’est à
    quoi nous ont entraînés tous les gouvernements socialistes en se référant aux exigences du
    contexte mondial.
    Les malversations de la droite, depuis quatre ans, sont si criantes que tout paraît préférable.
    Pourtant, il n’y a pas si longtemps que 55% des électeurs français ont été traités de
    «nationalistes frileux», de «retrogrades» et de « réactionnaires» par la totalité des médias de
    droite et de gauche, (sauf l’Humanité et les journaux d’extrême-gauche) et par la direction du
    Parti socialiste. Quel était le tort principal de cette majorité ? Vouloir une Europe sociale au
    lieu d’une simple union économique. La minorité au pouvoir, une fois de plus, a misé sur
    l’accoutumance au mensonge et sur les accomodements dictés par l’approche des élchéances
    électorales. C’est dire que l’opportunisme l’emporte toujours sur la volonté de changement…
    Mais l’on peut rêver et rêver – pourquoi pas ? – d’un changement qui creuserait une telle
    différence avec l’ordre actuel qu’il serait « révolutionnaire». Je n’ai aucune compétence en
    matière d’économie. Je suppose néanmoins qu’il devrait être possible de faire un bilan de
    vérité compréhensible par tout citoyen au sujet de la dette publique, des mécnaisme financiers
    que contrôle la Banque centrale et les autres, des imbrications internationales… Un citoyen a
    le doit de savoir si les allégements de charges sociales servent l’emploi ou servent à creuser le
    trou de la sécurité sociale afin de la détruire, si l’accroissement des dividendes s’accompagne
    ou non d’un accroissement de la précarité, si les bénéfices des entreprises servent
    l’investissement ou la spéculation…
    Les intérêts de la classe dominante s’opposent bien sûr à cette éclairicie qui transformerait les
    rapports sociaux en créant une égalité par l’information. Cette égalité-là contient en soi,
    aujourd’hui, un changement révolutionnaire tant du point de vue culturel que politique pour la
    raison que l’arme la plus efficace de l’oppression est désormais la privation de sens. Le
    problème est que cette privation est déjà si bien installée qu’elle endort sa perception. On
    oublie que le flux des images, en occupant un regard passif, occupe d’emblée tout l’espace
    mental où son mouvement prend la place de la pensée. Ainsi créé-t-on du « cerveau
    disponible», comme l’a récemment avoué le directeur de TF1, – disponible à l’influence d’un
    message qui, dans le flux insensé des images, paraîtra tout à coup fournir du sens alors qu’il
    est purement publicictaire.
    il n’est pas très difficile d’apercevoir dans l’agitation médiatique de nos dirigeants la volonté
    de vendre l’option électorale comme une marchandise. A quoi bon inciter à la réflexion quand
    il est plus rentable de créer un réflexe consommateur. La posture passe dès lors pour une
    pensée et le slogan qui la légende pour un programme : l’apparence suffit, puisque nous
    sommes dans les images. Il fut un temps où le changement révolutionnaire passait à juste titre
    par la conquête des moyens de production ; il passe à présent par la conquête et la maîtrise des
    moyens de communication. Mais encore faut-il ne pas oublier que la prise du pouvoir
    n’introduit qu’au… pouvoir de telle sorte que l’acte révolutionnaire s’y pervertit dans son
    succès même. C’est la triste histore de la révolution d’octobre. Toute pensée révolutionnaire
    doit donc inventer une organisation susceptible à la fois d’exercer le pouvoir et son contrepouvoir…

  5. peuple tunisien ne te laisse pas voler ta victoire par un gouvernement fantoche qui conserve tous les pouvoirs regaliens aux mains qui ont servies le dictateur dechu vive la liberte la democratie le progres social et economique et la laicite pour ton bonheur et ta prosperite

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