Quelques clichés à propos de notre première dame recueillis sur Wikipedia
Son ascension au sommet du pouvoir a permis à certains membres de sa famille de s’impliquer graduellement dans plusieurs secteurs de l’économie tunisienne. Accusée par l’opposition tunisienne de népotisme, elle permet en effet à ses proches d’accéder à des postes clés. Ainsi, son frère Belhassen Trabelsi est à la tête du groupe Karthago auquel appartient notamment la compagnie aérienne Karthago Airlines ou la radio Mosaïque FM[7] et siège au comité central du Rassemblement constitutionnel démocratique au pouvoir. Najet Trabelsi, sa cousine, est députée alors que son amie Alya Abdallah dirige la Banque de Tunisie. À l’instar de Wassila Bourguiba, elle se transforme en acteur politique de premier plan, certains observateurs croyant discerner son influence derrière certaines promotions comme celle d’Abdelwahab Abdallah, mari d’Alya Abdallah
Leïla Ben Ali est aussi mise en cause par la presse internationale pour l’impunité dont jouirait sa famille. Ainsi, ses neveux Imed et Moez Trabelsi sont accusés d’avoir été les commanditaires d’un trafic de bateaux de luxe découvert par la police française[8]. En dépit de nombreuses convocations de la justice française, les deux frères n’ont pas donné de réponse. En mai 2007, le juge Jean-Bastien Risso lance deux mandats d’arrêt internationaux à leur encontre mais qui n’aboutissent pas, la Tunisie refusant l’extradition. En 2009, les deux frères sont renvoyés en correctionnelle en France, aux côtés de neuf autres accusés pour « vol en bande organisée », « escroquerie en bande organisée » et « faux et usage de faux »[9]. Le même Imed Trabelsi aurait par ailleurs ordonné le vol de la voiture du PDG de BMW en Allemagne « avant d’être contraint de la restituer contre un abandon des poursuites »[10]. Leïla Trabelsi serait également à l’origine de la fermeture en 2007 du Lycée Louis-Pasteur de Tunis, dirigé par Mohamed Bouebdelli[11], permettant à son amie Souha Arafat, la veuve de l’ancien dirigeant palestinien, d’ouvrir un établissement privé international, l’International School of Carthage[12]. L’affaire s’est terminée en brouille financière entre les deux femmes
Leïla Ben Ali est aussi mise en cause par la presse internationale pour l’impunité dont jouirait sa famille. Ainsi, ses neveux Imed et Moez Trabelsi sont accusés d’avoir été les commanditaires d’un trafic de bateaux de luxe découvert par la police française[8]. En dépit de nombreuses convocations de la justice française, les deux frères n’ont pas donné de réponse. En mai 2007, le juge Jean-Bastien Risso lance deux mandats d’arrêt internationaux à leur encontre mais qui n’aboutissent pas, la Tunisie refusant l’extradition. En 2009, les deux frères sont renvoyés en correctionnelle en France, aux côtés de neuf autres accusés pour « vol en bande organisée », « escroquerie en bande organisée » et « faux et usage de faux »[9]. Le même Imed Trabelsi aurait par ailleurs ordonné le vol de la voiture du PDG de BMW en Allemagne « avant d’être contraint de la restituer contre un abandon des poursuites
leila une vrai pute
tis halouf
ya kahba
elle doit etre extradée et rendre l argent qu elle a volé aux tunisiens, il parait que cette pute veut divorcer de son dictateur de mari!!!!
Oui, Leila et sa famille est une vraie mafia! A propos – regarde sur notre semaine tunisienne pour la démocratie (en allemand): http://2010sdafrika.wordpress.com/.
arrêtez ces conneries…